Le projet TICTAC est financé par l’ADEME dans le cadre du programme de recherche PREDIT (GO3) pour une durée de 2 ans. Les partenaires sont la société Vulog, l’INRIA, MHC consultants, la Communauté d’Agglomération de Sophia-Antipolis, et le CETE Med. L’objectif est de mettre en place et d’évaluer de manière approfondie des systèmes d’information temps réel sur pour les personnes prenant les TC pour venir travailler à Sophia-Antipolis, notamment sur l’axe Nice/Cannes-Antibes-Sophia, en vue d’améliorer le niveau de service et in fine la part modale du TC, en prenant en compte le projet de TCSP Antibes-Sophia en cours d’étude.
Le CETE intervient sur les questions fonctionnelles pour la définition du service et l’évaluation, et produira au début du projet un état de l’art sur les systèmes d’information TC/multimodaux temps réel.
L’objectif de ce panorama est de produire dans les premières semaines après le lancement du projet une sorte de l’état de l’art des systèmes d’information TC/multimodaux temps réel, afin de faire bénéficier les concepteurs du système d’information TICTAC (Inria, Vulog) d’un retour d’expérience aussi large que possible. Le rapport se termine en conclusion par quelques recommandations ; il comprend un glossaire et une liste de sources d’information en vue de permettre au lecteur de mettre à jour ce panorama qui deviendra vite périmé.
La participation des villes est plus que jamais nécessaire. Elles devront être capable d'intégrer rapidement l'innovation, tenir compte de l'avis des citoyens utilisateurs, de partager leurs données et leurs expériences. Deux idées sont proposées dans ce sondage, votre avis nous intéresse :
Tient place, avec comme ambition d’être le premier au Monde, avec plus de 2 millions de visiteurs attendus, pour plusieurs raisons.
« For one, India is a fast-growing market for cars and two-wheelers. Compared with China’s 27 cars per 1,000 citizens, India has only seven car owners per 1,000 citizens. “Delhi’s Auto Expo event is the bellwether for the automobile industry. Both domestic and global companies can showcase products to the largest potential audience,” says Venu Srinivasan, President of the Confederation of Indian Industry (CII) and CMD of TVS Motor.
Two, the 2010 edition holds immense significance for global vehicle manufacturers, since India and China were the fastest to recover from the financial crisis that swept the world last year. Car sales in the domestic market from April-November this year grew 21 per cent, while sales of medium and large trucks and buses in the same period dipped by barely 2.4 per cent. Much of the key markets in the US and Europe are still in the negative and yet to witness a recovery.
Three, global car and truck majors who skipped this year’s key events like the Tokyo Motor Show are lining up to showcase their products at the capital’s Auto Expo. “There could be multiple reasons as to why companies avoided participating in the global auto shows. One reason could be cost-cutting. For many of these global vehicle manufacturers, India is yet a virgin market and showcasing a concept model gives tremendous mileage. Component manufacturers benefit greatly from events like these,” says Mohit Arora, senior director, Singapore based JD Power & Associates.
Tous les constructeurs sont donc présents avec des annonces, des présentations dont Toyota (voir ci-dessous), Honda, Suzuki (actuel leader), mais aussi VW, Ford et Renault/Dacia. Ce salon annonce cependant un tournant majeur, les véhicules présentés sont “réalistes” et les vedettes sont petites, compactes. Les constructeurs présentent ici leurs modèles d’entrée de gamme qui comptent pour près de 80% des ventes.
"India is developing as a small-car hub," senior director at the Society of Indian Automobile Manufacturers (SIAM), Sugato Sen, told AFP. He pointed to government policies that have promoted the production of small cars domestically, while rising incomes have driven demand for basic, no-frills vehicles. "India ultimately is a developing country where the average annual income is below 1,000 dollars a year, so this is reflected in the vehicles we use," he said.
"Growth in developed counties is almost saturated so they are looking for where they can sell, especially in the low-end, entry-level segment," said analyst Vaishali Jajoo from Angel Broking. Si l’Inde se “spécialise” dans la conception de ce type de produit, quelles conséquences pour l’Europe ?
En France, en 2009, les ventes se sont elles aussi concentrées sur les véhicules simples, économes pour des raisons évidentes de pouvoir d’achat (voir ici). En 2008, 50% des ventes concernaient les segments « économique inférieur », 57% en 2009.
Plus que jamais, ce segment de véhicule doit focaliser l’ensemble de nos efforts …
Source Archives Agence Française pour la Maîtrise de l’Energie.
Depuis un demi-siècle, l’extension spatiale des villes en France s’est effectuée principalement dans les couronnes périurbaines, sous la forme de lotissements de maisons individuelles et de zones d’activités pour l’accueil des entreprises. Or le nombre de déplacements ne cesse de croître, les trajets s’allongent, la pollution gagne les centres urbains et la congestion routière des villes augmente. De plus, l’insécurité routière reste une préoccupation forte. Enfin l’étalement urbain et son corollaire, l’essor de la dépendance à l’automobile, sont aujourd’hui remis en question par les considérations environnementales. De nouveaux objectifs sont fixés dans la loi de programmation relative à la mise en œuvre du Grenelle de l’environnement publiée le 3 août 2009. Les schémas urbains doivent ainsi être à présent repensés à la lumière de deux impératifs : la réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES) et la réduction de la consommation de foncier agricole et forestier.
Lors du séminaire organisé par l'ADEME (3-12-2009) sur les services de mobilité, des artistes ont participé aux ateliers (services en zone urbaine, en zone péri-urbaine, changements culturels nécessaires et apports des TIC) et proposent des visions décalées, source de réflexion, d'inspiration et d'action.
Les décennies à venir devront, de manière urgente, considérer les carburants alternatifs produits à partir de gaz naturel, de charbon, de biomasse ou d’hydrogène comme un impératif, pour venir compléter les carburants conventionnels à base de pétrole utilisés pour le transport. Demande mondiale de carburants en forte croissance, pic de production de pétrole conventionnel, facteurs environnementaux critiques et difficulté de substituer rapidement et à grande échelle les carburants à base de pétrole, sont autant d’incitations à diversifier les carburants dédiés au transport en développant des filières alternatives.
Les IFP Sessions organisées sur le site de Rueil-Malmaison de l’IFP le 9 décembre 2009, ont fait état des technologies nécessaires à la production de carburants alternatifs issus du gaz naturel, du charbon, de la biomasse et de l’hydrogène. Elles portaient également sur les attentes des producteurs et des utilisateurs et les solutions pour y répondre. Des conférences tenues par des acteurs de premier plan et des débats d’experts donnaient aux participants une perspective d’avenir quant aux voies existantes et émergentes susceptibles de mener aux carburants alternatifs.
Ce colloquedétaillé dans une note précédentea connu un certain succès puisque la salle du Monde Professionnel affichée complet. L'ensemble des intervenants de la matinée (Veolia, Zipcar, Europcar, RATP, Orange) ont tous détaillé les multiples limites de l'automobile possédée, le besoin de changement, l'intérêt des TIC citant à nombreuses reprises l'iPhone. Tous ont également mentionnés la nécessité de collaboration, d'ouverture des bases de données, de partage d'informations.
Pourtant ces acteurs de l'écosystème de la mobilité individuelle sont pour la plupart des sociétés marchandes, tous visent le poste actuellement libre de chef d'orchestre de la mobilité - être capable de proposer une multimodalité fluide en temps réel à un large public. Ce paradoxe entre le besoin de partage, de collaboration étendue et les brevets ou les copyrights à venir est semblable au combat que se livre Linux et Windows.
L'ADEME soutient activement la recherche dans le domaine des véhicules routiers à faibles émissions de GES. Une feuille de route a été rédigée par un comité d'experts pour présenter la vision stratégique de ce sujet.
Résumé :
Les nouvelles technologies énergétiques devant faire l’objet de démonstrateurs de recherche de façon prioritaire ont été identifiées, notamment à partir de la stratégie nationale de recherche dans le domaine de l’énergie et des réflexions du comité opérationnel « recherche » du Grenelle de l’environnement.
Ce document présente les éléments de feuille de route précisant les besoins de démonstrateurs de véhicules routiers à faibles émissions de GES, et définit les priorités auxquelles s’adressera le fonds démonstrateur.
Retombées :
- 11 projets lauréats de l'AMI 1 Véhicules du Fonds Démonstrateurs de Recherche
Hybride en série, en parallèle, pile à combustible, biocarburants, électrique, ... les voies ne manquent pas mais feront-elles pour autant réduire notre impact sur l'environnement ? lesquelles privilégier ? à quelles échéances ?
Alors que le marketing l'emporte aujourd'hui sur la performance réelle, c'est bien cette dernière qu'il faudra définir et au plus vite pour concentrer nos moyens sur l'essentiel. Ainsi, par exemple, le mot "hybride" sur un véhicule de plus de 200 chevaux sur la marque de Luxe d'un constructeur Japonais lui permet sans repproche d'afficher son action prétendue écologique...
Lancement officiel de ce blog pour le séminaire du 3 décembre 2009 à Sophia Antipolis.
Ce séminaire, à accès restreint, sera consacré à la Mobilité des Personnes.
Il visera la constitution d' une plate-forme d'échange collaboratif sur ce sujet complexe en pleine évolution. L'idée de cette journée sera de vous proposer un objectif à atteindre : le développement d'une palette de services de mobilité performants, porte à porte, cohérents, fluides, ... puis de construire ensemble des chemins pour développer ces services, se remettre en question, identifier les barrières, proposer des pistes, monter des projets.
Ce passage de l'économie de l'objet à l'économie du service est essentiel pour améliorer fortement notre efficacité énergétique, et doit être perçu comme une chance pour le citoyen, l'entreprise, et l'environnement. Nous utiliserons, pendant le séminaire et après, une plate forme d'échanges spécifique permettant de travailler en réseaux les innovations identifiées.
Nous réunirons des sociologues, économistes, entrepreneurs, industriels, chercheurs, consultants, représentants de collectivités, de l'état, et d'associations. Un artiste sera présent pour retranscrire en dessins les différents échanges de la journée.
« Je ne dis pas que ces transformations radicales se réaliseront. Je dis seulement que, pour la première fois, nous pouvons vouloir qu’elles se réalisent. » - A.Gorz 2007
Ce blog constitue la partie publique des outils mis à la disposition par l'ADEME pour échanger sur ce sujet.