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Changement de nom, élargissement du champs d'activité, passage à l'ère de la mobilité électrique, Norauto, devenu Mobivia, se positionne comme un futur opérateur de mobilité, maîtrisant partiellement véhicule et infrastructure.
Leader européen de l’entretien et de l’équipement des véhicules multimarques, Norauto devient Mobivia Groupe et accompagne depuis plus de 40 ans les automobilistes du monde entier en leur apportant plus de confort, de sécurité et de qualité de service. Conjuguant le rêve de mobilité au respect de l’homme et de l’environnement, ses 6 enseignes agissent et innovent chaque jour pour une mobilité plus propre, plus accessible, plus responsable.
D’après le blog Voiture du futur, L'enseigne de centres-auto a officialisé cette nouvelle activité dans le cadre des RIVE 2010 (Rencontres Internationales sur le Véhicule Electrique), il y a quelques jours à Alès. Mobivia va proposer des véhicules et du service avec une nouvelle structure qui aura pour nom O2 City. Elle va commercialiser d'une part des modèles électriques (F-City de FAM Automobiles, la Think et la NXR de Reva) et d'autre part des modes de financement (achat, location), de l'entretien et de la vente de bornes de recharge.
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T&E, Fédération Inter-Environnement Wallonie and Bond Beter Leefmilieu are pleased to invite you to a high level conference on 'The Pricing of Progress: Intelligent road charging for a smarter, more competitive Europe'. The conference will be held on Tuesday 28 September, at the Goethe Institute, Rue Belliard 58,
Experiences and expectations of road charging for lorries (Eurovignette directive) will be discussed with national representatives, the European Commission and Members of the European Parliament.
Further details to follow, including registration form, keynote speakers list and an up-to-date version of the flyer. All information will be available here.
Traffic congestion does not just add stress to our already-stressful lives; it impedes economic development while increasing air pollution.
The question now is: what is to be done?
More fuel efficient cars, more public transportation, more ridesharing, more telecommuting are all good steps – but hardly enough. And it is clear that the traditional remedies for road congestion – adding a lane or building a new road – have proven to be just a temporary fix before congestion returns. Technology can help. For the first time in history, digital and physical infrastructures are converging. As a result, we are now able to understand large, complex systems that previously resisted investigation – systems as diverse as waterways, oilfields, and transportation networks. Transportation officials are now able to collect real time data on traffic conditions and instantaneously analyze that data and deploy strategies that minimize delays and congestion (see also here). Thanks to the proliferation of data-gathering devices on our roads and recent advances in business analytics – large volumes of data can be quickly synthesized and actionable insights extracted that allow for active management of our transportation networks to keep people moving more efficiently.
“About a quarter of the respondents said that gas prices would have to rise by 20-30% for them to seriously consider other forms of transportation.”
“If their commuting time would be significantly reduced, 53% said they would spend more time with friends or family, 44% would devote themselves to more recreation, and 42% would spend more time exercising. And 16% said they would work more (multiple answers were allowed).” See also graph below...
[les échos 06/07/10] L'autoroute sera souterraine et proposera une gestion automatique du trafic à une vitesse prévue de 30 kilomètres-heure. Le « U-Smart Way », c'est le projet fou de Séoul, celui qui, moyennant un investissement de 11.200 milliards de wons (7,51 milliards d'euros), entièrement financé par le privé, doit contribuer à faire basculer la cité dans une nouvelle ère. Objectif : réguler la circulation des véhicules tout en garantissant de relier deux points de la capitale coréenne en moins de trente minutes. Une fois descendu sur l'axe routier, le véhicule sera autoguidé et donc pris en charge. Pas moins de 700 kilomètres de voies sur six axes vont être creusés pour le projet. La mise en service est prévue en 2017 pour la première tranche, puis en 2020 pour l'ensemble du réseau.
Issus de la newsletter de Capital Innovation, des exemples d’applications de l’économie de la fonctionnalité.
Claire Gérard, directrice de la communication du Groupe Bic, insiste pour distinguer les produits Bic des produits réellement "jetables", c’est-à-dire à usage unique. « Les produits Bic sont avant tout conçus pour assurer une fonctionnalité optimisée, c’est-à-dire un maximum de service rendu avec un minimum de matériau utilisé » ; ainsi un rasoir qui n’utilise que 5g de matériaux peut assurer jusqu’à 7 rasages . Serait-ce les prémices d’une économie de fonctionnalité?
Une analyse de cycle de vie a démontré que l’impact environnemental du rasoir est lié en majeure partie à l’utilisation de matières premières non renouvelables ; « BIC recherche pour le consommateur des solutions de recyclage de son produit en fin de vie ». C’est ainsi qu'a été initié le programme « Rasez-vous, Recyclez » : une enveloppe offerte vous permet de retourner gratuitement vos rasoirs contre des bons de réduction. Un centre d’aide par le travail traite la réception des enveloppes et le plastique retrouve une vie dans des pièces de machine à laver.
En plus du bénéfice environnemental lié au recyclage, Bic encourage la fidélisation du consommateur à une consommation continue de rasoirs Bic. On se rapproche de l’abonnement à un approvisionnement constant de rasoirs dont Bic demeurerait propriétaire et gèrerait les matériaux en boucle fermée. Et le pas à franchir est réaliste puisque, comme le fait remarquer Claire Gérard, « on peut observer que l’usage des produits Bic est souvent déjà dissocié d’un sentiment de propriété : c’est le parc commun de stylos au bureau, le même modèle de rasoir qui peut convenir à différents membres d’un même foyer ou le briquet que l’on partage sans souci.
Le « roi du jetable » serait donc le parfait candidat à l’économie de fonctionnalité, et par là au Développement Durable !
Pour contacter Claire Gérard: claire.gerard@bicworld.com
Site Web du programme Bic Recycle : www.bicrecycle.com
Deux vidéos de François Bellanger - Transit City
La mission prospective du CGDD – MEEDDM et l’ADEME copilotent le programme « Repenser les villes dans une société post carbone » depuis début 2009. Un site présente les principales composantes du programme et son actualité : des recherches, des séminaires acteurs-chercheurs ainsi qu’un atelier de construction de scénario de transition vers la ville post carbone.
Premières publications :
Présentation des enjeux du programme et des scénarios de transitions :
Horizons 2030 2050 ville post carbone
Article pour la revue Constructif Mai 2009 :
Un travail bibliographique est réalisé dans le cadre du programme, la dernière version est disponible :
Bibliographie_Post Carbone_2009
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A partir du 1er juin 2010, MobiGIS en association avec des étudiants de l'université J.F. Champollion d'Albi mènent une enquête sur le covoiturage dynamique.
Le covoiturage dynamique met en relation conducteurs et passagers en temps réel via un système multi-accès (internet, téléphone mobile, centres d'appels), et apporte souplesse, sécurité, organisation.
L'enquête socio-ergonomique a pour objectif de cerner au plus prêt vos attentes en termes de mobilité sur le territoire de la Communauté des Communes Save & Garonne, mesurer les freins et atouts du covoiturage et permettre la mise en place d'un nouveau mode de transport efficace, innovant et de qualité : le covoiturage dynamique.
Exprimez-vous en répondant au questionnaire. Quelle que soit votre opinion préalable sur le covoiturage, votre avis et votre situation par rapport aux transports nous intéressent.
Having made a key contribution to the Internet revolution, the Free/Open Source movement is now starting to fundamentally transform the whole fabric of technology and knowledge, and the way businesses and people use it. This is opening up colossal opportunities, and also giving rise to some tough challenges. How can organizations and individuals alike take advantage of the Free/Open Source way to strenghten their competitiveness and to support innovation? How can public institutions and governments make use of it to kick-start the economy and employment? What technological, economic and societal breakthroughs in Free/Open Source can we expect in the future? It is on order to explore these issues that the Open World Forum is being held. Founded in 2008 by a heavyweight group of communities and IT players, the Open World Forum is the premier global summit meeting in this field, bringing together decisions-makers from across the world.
Co-édité en mars 2010 par la DGITM et le CGDD (collection Repères), ce document présente pour les différents modes de transports (terrestres, aériens, maritimes...) des données relatives :
ECTRI is an international non-profit association registered in France. Founded in 2003 by 15 national transport research institutes, ECTRI today includes 27 institutes (or universities) from 20 different countries.
Following a pan-European approach, ECTRI gives a particular emphasis and priority for integrating transport research institutes or universities from the New Member States in its activities.
For a short overview of ECTRI and its activities, you can download the following documents:
ECTRI's Strategic Paper - September 2008
ECTRI Members' traffic sector activities
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Ces outils modernes sont à l'évidence de puissants modes de communication, de réseaux, pour échanger des informations, et le faire savoir. Mais un article d'InternetActu (issu du blog de Brad Burhnam) nous éclaire également sur leur capacité à générer de la gouvernance.
“La valeur de Twitter n’est pas dans le logiciel qui s’exécute sur leurs serveurs, il est dans le contenu que 180 millions de personnes partagent. C’est la même chose avec Facebook. Certains diront qu’Apple fait beaucoup, mais l’expérience de l’iPhone a beaucoup à voir avec les 200 000 applications créées pour s’exécuter sur le périphérique.
Beaucoup de gens ont commencé à utiliser le terme écosystème pour décrire ces grandes plates-formes. Un terme qui capte leur valeur décentralisée, leur caractère émergent… sauf que les écosystèmes n’ont pas de point de contrôle central.” Or Apple, Facebook ou Twitter, pour garder ces trois exemples, règnent en maître sur leurs environnements. “Cela n’arrive pas dans un écosystème. La bonne analogie serait plutôt un gouvernement.
“Facebook est un gouvernement. Les utilisateurs de Facebook sont des citoyens, et les développeurs d’applications Facebook sont les entreprises privées qui alimentent une grande partie de l’économie. Apple, Twitter, Myspace, Craigslist, Foursquare, Tumblr et tout autre réseau important d’utilisateurs engagés (y compris certains services de Google) jouent un rôle similaire. (…)
“Une fois que vous commencez à penser à ces plates-formes web comme des gouvernements, la question logique est de savoir quel genre de gouvernement sont-elles ? Une chose est sûre – aucune de ces plates-formes n’est une démocratie. Elles sont contrôlées par des oligarchies de fondateurs, d’investisseurs ou d’actionnaires. Ce n’est peut-être pas un mal : tant que les citoyens (utilisateurs) peuvent se déplacer librement d’un gouvernement à un autre, avec un coût de commutation à peu près nul (…). Mais cela met une prime particulière sur les politiques d’émigration et les droits de propriété. Suis-je propriétaire de mes propres données ? Puis-je les exporter librement ?”.
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L’extension des territoires urbains, des demandes de déplacements des voyageurs de plus en plus diffuses dans le temps et l'espace, ainsi que les limites des transports collectifs conventionnels et la recherche d'alternatives à la voiture individuelle, ont fait émerger de nouveaux services à la mobilité tels que : transport à la demande, autopartage, covoiturage, vélos en libre-service, "carapattes", etc. Favorisés par les innovations technologiques, ces services posent question sur leur domaine de pertinence, leur mode de gouvernance et leur modèle économique.
Cette première journée d’étude nationale est à destination des collectivités locales et de leurs services techniques, des autorités organisatrices de transport urbain, des entreprises, des bureaux d’études, des organismes de recherche et du secteur associatif. Elle traitera de l’intégration des nouveaux services à la mobilité dans la planification des transports urbains, de leur intermodalité avec les autres modes, du rôle qu'ils peuvent jouer en matière de cohésion sociale et territoriale, et plus largement de l'évolution des démarches de management de la mobilité (Plans de déplacements, Conseils en Mobilité, etc.).
Le programme PROVISOIRE est accessible ci dessous, et le bon d’inscription (participation de 50 €) sera disponible début juillet sur les sites : CNFPT, ADEME, CERTU, GART.
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Le projet TICTAC est financé par l’ADEME dans le cadre du programme de recherche PREDIT (GO3) pour une durée de 2 ans. Les partenaires sont la société Vulog, l’INRIA, MHC consultants, la Communauté d’Agglomération de Sophia-Antipolis, et le CETE Med. L’objectif est de mettre en place et d’évaluer de manière approfondie des systèmes d’information temps réel sur pour les personnes prenant les TC pour venir travailler à Sophia-Antipolis, notamment sur l’axe Nice/Cannes-Antibes-Sophia, en vue d’améliorer le niveau de service et in fine la part modale du TC, en prenant en compte le projet de TCSP Antibes-Sophia en cours d’étude.
Le CETE intervient sur les questions fonctionnelles pour la définition du service et l’évaluation, et produira au début du projet un état de l’art sur les systèmes d’information TC/multimodaux temps réel.
L’objectif de ce panorama est de produire dans les premières semaines après le lancement du projet une sorte de l’état de l’art des systèmes d’information TC/multimodaux temps réel, afin de faire bénéficier les concepteurs du système d’information TICTAC (Inria, Vulog) d’un retour d’expérience aussi large que possible. Le rapport se termine en conclusion par quelques recommandations ; il comprend un glossaire et une liste de sources d’information en vue de permettre au lecteur de mettre à jour ce panorama qui deviendra vite périmé.
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Comment se déplaceront les Free-lifers ? comment achèteront-ils leurs mobilités ? 25% dans 5 ans ...
Pour converser sur Facebook, ou sur Linkedin Chasseurs de Tendance, voir également L'observatoire des Tendances de René Duringer.
Since taking over as New York City's Commissioner of the Department of Transportation in mid-2007, Janette Sadik-Khan has taken on the challenge of making NYC streets more bike & pedestrian friendly while emphasizing livable streets and re-orienting them to accommodate all modes. She and her staff have done it quickly with innovative concepts, thinking outside the box and drawing on successful street designs from around the world to come up with a NYC model that is already changing the way our city feels.
Plusieurs notes ont déjà été rédigées sur la transition de l'objet véhicule au service de mobilité. Parmis les avantages, nous pourrons retenir en priorité que, ne pas posséder de véhicule peut conduire à accroître l'efficacité énergétique, car le mode, public ou privé, individuel ou collectif, deux roues à 4 roues, est mieux choisi. Le passage à des services de mobilité ouvre le monde de la multimodalité fluide en temps réel rendu techniquement possible par les TIC. C'est donc une chance pour l'environnement, le citoyen, et également pour les entreprises, si ces dernières acceptent de revoir "leur ADN" comme le propose le MIT dans Reinventing the Automobile : véhicule léger et efficace, connecté aux (différents) réseaux, éventuellement électrique, conçu pour s'inscrire dans des systèmes de mobilités. L'objet n'étant plus dédié à des particuliers, la conception peut être revue et, à l'économie de la fonctionnalité s'ajoute celle de l'économie circulaire. Cette synergie (détaillée ici) permettra de cumuler les bénéfices apportés par le système à ceux apportés par des gestions circulaires de flux de matière et d'énergie rendues possibles par des objets gérés par des professionnels.
Les objectifs (détaillés ici) que l'on peut se fixer par une telle transition, sont à la hauteur des difficultés et des changements demandés aux entreprises : être plus robuste aux crises à venir, respecter les critères Qualité de l'Air, émissions de CO2, congestion, capacité à mener des activités marchandes sur un territoire, facilité à avoir des activités sociales et culturelles.
Parmi les risques, déjà identifiés, figurent notamment les difficultés à partager des objets (autopartage, covoiturage) liée au manque de confiance (voir également ici) donc à rendre économiquement attrayant ce type de services. Il est également nécessaire de partager des données, essentiellement celles liées aux transports publics, mais également aux traffics, aux stationnements, etc... Serons nous capable de le faire ? Par ailleurs l'optimisation du "système Ville" en matière de mobilités va nécessiter de revoir les modes d'autorités, de pilotage des transports publics, d'utilisation des voiries, de créer une plate forme permettant de réaliser et d'optimiser le système des mobilités 2.0. A ces obstacles "connus", viennent s'ajouter ceux liés à la création de nouveaux acteurs économiques ou de nouveaux modèles économiques qui, pour se développer, générer des plus values, détourneront volontairement ou pas ces outils avec en conséquences des objectifs globaux non respectés. Cet "effet rebond" marketing est délicat à prévoir mais quelques tendances peuvent être proposées.
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Lancé voici deux ans, le projet Yasuni fonctionne sur le principe de la compensation carbone. L’Equateur s’engage à ne pas extraire le pétrole de la région (ce qui représente 850 millions de barils et 20 % des réserves du pays) si les pays industrialisés, co-responsables du changement climatique, fournissent une compensation financière pour les 410 millions de tonnes de CO2 évités. A hauteur de 50 % de la somme « perdue », ce financement correspond à 350 millions de dollars par an. Les gouvernements, les organisations et les particuliers peuvent ainsi alimenter le fond Fidéicomis géré par l’ONU et l’Equateur.
Ainsi il y aurait un consentement à payer pour conserver une biodiversité, réduire émissions de GES et pollution ? Est ce que ce cas restera isolé ? Est ce que l'arctique pourrait également suivre la même voie ?
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IBM annonce aujourd'hui sa collaboration avec le KTH Royal Institute of Technology en Suède pour permettre aux habitants et aux autorités de la ville Stockholm de gérer et d’utiliser les transports de façon plus intelligente.
Les chercheurs du KTH Royal Institute of Technology utilisent la technologie IBM de streaming analytics pour recueillir l'information en temps réel à partir des systèmes GPS de près de 1500 taxis de la ville, et prochainement grâce aux données provenant des camions de livraison, des capteurs de trafic et de pollution, des systèmes de transport et des informations météorologiques. Les données sont traitées par le logiciel d’IBM InfoSphere Streams, système pionnier en matière de streaming analytics, qui permet à la ville et à ses habitants de recevoir des informations en temps réel sur les flux de circulation, les temps et les meilleures options de déplacement.
Les utilisateurs peuvent par exemple envoyer un texto en précisant leur lieu de départ et leur destination. Grâce à cette technologie, les informations sur la circulation, les transports ferrés et la météo sont analysées et le système fournit les temps de déplacement prévus en voiture et en transports publics. Les utilisateurs obtiennent ainsi une vue instantanée et précise sur le moyen le plus rapide pour se rendre à leur destination.